Divers

Repas d'Halloween

En ce moment, beaucoup travail, peu de temps pour la cuisine et les distractions. Décision a été prise avec Cher et Tendre, Petit Zombie et Mlle Leibniz, d’improviser une soirée d’Halloween sans prétention. Comprendre: manger, papoter et jouer à House of the Dead 2 et 3.

Après un rapide détour par le marché pour trouver un beau potiron (3,5kg: ça c’est de la lanterne d’Halloween!), quelques courses pour préparer un buffet répugnant d’apparence, mais délicieux. Y’a pas à dire, le colorant alimentaire est une belle invention!

DSCN4841
Déco vite faite, bien faite

DSCN4860
Lanterne d’un soir, qui aujourd’hui va se transformer en velouté au potiron

DSCN4850

DSCN4864
Notre charmant buffet

DSCN4846
Les oeufs tarentules de Mlle Leibniz (St Morêt et olives sur oeufs mollets)

DSCN4849
Doigts feuilletés de Petit Zombie (knackis, pâte feuilletée, amandes effilées)

DSCN4847
Ma salade cadavre (spaghetti colorés en vert, jambon déchiré, germes de soja, knackis)

DSCN4867
Hachis parmentier moisi (vive le colorant vert!)

DSCN4865
Cocktail cerveau: grenadine, vodka, orange, baileys

DSCN4859
Cupcakes halloween: gâteaux au chocolat avec crème pâtissière et colorant alimentaire

DSCN4852
Le clou du spectacle: le gâteau cercueil de Petit Zombie (quatre-quarts, chocolat, pâte d’amande)

|

Mea culpa

Alors oui, je sais, je crains. Une note tous les quinze jours, c’est la honte. Mais en ce moment, je passe tellement peu de temps chez moi et je suis tellement fatiguée quand je rentre, que ma cuisine a pour une fois le temps de se reposer.

La preuve en image:

DSCN4819

Promis, j’essaierai de me rattrapper ce weekend!

|

Décidément, on m'aime.

Aujourd’hui, j’ai eu à nouveau la délicieuse surprise de voir qu’on m’avait attribué une jolie récompense. Je remercie beaucoup Eva, du blog Pour ceux qui aiment cuisiner, et je la félicite par la même occasion pour la décoration toute neuve de son blog!

30098586


A présent, c’est à moi d’attribuer ce prix à trois personnes. Je choisis donc (roulement de tambour):

- Ma petite cuisinière du Jura
- Mimine (même si son blog est un peu à l’abandon en ce moment)
- Océane de Un, deux, trois, petits plats!

|

Tag!!!

J’ai été fraîchement taggée par Eva, du blog Pour ceux qui aiment cuisiner. Donc, je la remercie et m’empresse de répondre! Allez faire un tour chez elle!

- Il y a dix ans:

J’avais 13 ans, j’étais en cinquième et je passais tout mon temps à lire. Je trouvais le collège pas terrible. Je me rends compte aujourd’hui à quel point ma vie était ennuyeuse à l’époque! Il a fallu attendre la quatrième pour que les choses commencent à décoller! A cette époque, je ne pensais qu’aux chevaux; j’aurais tout donné pour un poney.

- Cinq choses que j’ai faites aujourd’hui:

> Je me suis précipitée à la fenêtre en me levant pour voir quel temps il faisait.
> J’ai pris mon petit déjeuner,
> tout en faisant la revue des blogs que j’aime.
> J’ai commencé à m’occuper du mien.
> Je prévois de prendre une bonne douche et de me mettre au boulot!

- Trois plats que j’aime:

Wouah! Dur de choisir! Alors: les sushi (ça, c’est clairement le top de ce que j’aime), les macarons (je salive rien que d’y penser) et... même si c’est diététiquement catastrophique: les rillettes d’oie de mon papa avec une bonne tranche de pain et un verre de bon vin rouge.

- Cinq endroits où j’ai vécu:

Ma foi, mis à part pour les vacances, je n’ai jamais bougé de ma région d’origine. J’y suis bien trop attachée. Donc je n’ai vécu qu’à Cherbourg, pendant 18 ans et maintenant, je vis à Caen, depuis 5 ans.

- Si j’étais riche:

J’achèterais la maison de mes rêves en Suisse Normande, j’y installerais une cuisine de fou, j’aurais un chat, des tas de rats et un beau poney, j’installerais une salle de jeux pour Cher et Tendre, je gâterais les gens que j’aime, j’enverrais mes parents dans les îles, je deviendrais mon propre éditeur et je m’achèterai une Streetka!

- Et maintenant je tagge cinq personnes (d’horizons divers)

> Ma petite Bikette
> Mimine
> Spade
> Mon Cher et Tendre
> Petit Zombie
|

Diamant sur canapé

J’ai eu l’insigne honneur de recevoir un diamant de la part de Béatrice, du blog « A(u) Table(eau)!

Je suis à présent membre à part entière de l’élite de la blogosphère culinaire et je n’en suis pas peu fière!

Alors voilà, j’exhibe ce magnifique diamant:

brillante weblog

|

Mon armoire à épices

Quand on est une adepte de la cuisine parfumée, il est rigoureusement impossible de faire sans un bon attirail d’épices variées.

Mon armoire à épices est donc fournie; suffisamment en tout cas, pour faire face à la plupart des recettes exotiques qui se trouvent sur ma route.

Les épices sont fascinantes. Elles représentent tout un monde de couleurs, d’odeurs et de formes. Certaines variétés sont très connues, d’autres sont très rares et méritent d’être découvertes. Le plaisir d’entrer dans une boutique d’épices est sans pareil. En voyant tous ces sacs, ces bocaux et ces boîtes, on comprend tout de suite pourquoi les hommes se sont battus et ont payé des fortunes, juste pour pouvoir obtenir ces substances ô combien volatiles.

La cuisine indienne est particulièrement indiquée si vous souhaitez cuisiner avec une grande variété d’épices. On se souviendra que l’Occident a eu lui aussi une grande passion pour ces poudres colorées, et ce durant tout le Moyen-Age, même si sa cuisine les a depuis largement oubliées.

Si vous souhaitez vous constituer une réserve, voici une liste, bien entendue non exhaustive, de ce qu’une armoire à épices qui se respecte doit contenir, voici l’exemple de ce que contient la mienne:

- du sel au thym et du sel au basilic
- du curry de Madras
- de la poudre de chili
- du garam massala
- des graines de moutarde jaune
- des graines de carvi
- des graines de coriandre
- des graines de cardamome verte
- des épices à colombo
- des épices à tandoori
- du gingembre en poudre
- de la cannelle en poudre
- du poivre noir en grains
- de la cannelle en bâtons
- du macis (ou des noix de muscade)
- de la poudre de quatre épices
- du mélange cinq parfums
- des clous de girofle
- des herbes de Provence
- des herbes pour le poisson
- des boutons de rose

Avec ça, vous devriez être parés. Après, tout dépend de la taille de votre armoire. Personnellement, même après réorganisation, la mienne menace toujours de me jeter des trucs sur la tête quand je l’ouvre!

PICT0047
Petit aperçu de ma collection après réétiquetage

|

Croissants en boîte

Le problème quand on fait la grasse matinée, c’est qu’au réveil, on a rarement envie de faire l’effort de se rendre présentable pour sortir acheter des croissants. Surtout pour s’entendre dire qu’il n’y en a plus, tout ça parce que plein de gens s’amusent à se lever à 7h le dimanche.

En même temps, vu les kilos de beurre que contiennent un croissant, mieux vaut éviter d’en manger trop souvent. Mais une fois de temps en temps... c’est quand même drôlement bon!

Par curiosité et parce que Cher et Tendre avait des souvenirs d’enfance agréables à ce sujet, nous avons un jour acheté une boîte de pâte à croissant. J’étais plutôt sceptique. Je m’attendais à de tout petits croissants tout secs, sans goût, semblable à ceux qu’on peut acheter dans les supermarchés par lot de 12.

En même temps, je me dois d’avouer que faire moi-même ma pâte à croissant est absolument hors de question. J’ai un souvenir d’enfance tout à fait raté à ce sujet. Ma pauvre maman avait fait des efforts pas possible, pour un résultat vraiment décevant.

Donc, je me suis laissée faire et nous sommes repartis avec cette étrange petite boîte (Croustipate, vendu au rayon frais, près des rouleaux de pâte).


Depuis, nous avons réitéré l’expérience et actuellement, une boîte attend tranquillement sa transformation au frigo. C’est très amusant. Rien de plus mignon que de fabriquer ses croissants en amoureux, de les regarder cuire et de les déguster dans une délicieuse odeur de viennoiserie toute chaude.

Surprenamment, le résultat a l’exacte texture d’un croissant de boulangerie. Le goût est bon, moins prononcé qu’un croissant pur beurre, mais c’est normal, la pâte est faite avec de la matière grasse végétale.

En plus, il faudrait être particulièrement pas doué pour parvenir à les rater. Même encore tout ensommeillé, ça ne pose pas de problème! Alors si un matin, vous voulez vous amuser et avoir le plaisir de déguster « vos croissants », je vous recommande vivement l’expérience!

PICT0022
Y sont-y pas meugnons?

|

Réflexions sur le pouce

Aujourd’hui: déjeuner sandwich. Pas spécialement parce que je n’ai pas envie de faire la cuisine (faire tenir certains ingrédients entre deux tranches de pain est parfois beaucoup plus technique qu’on ne le pense), mais parce que j’aime parfois manger sur le pouce. Un pouce un peu rupin au vu du contenu de mon sandouiche: jambon de Bayonne, Comté, tomate et concombre.

Un bon moment en tout cas, pour réfléchir un peu sur la cuisine.

Je viens d’une famille où l’on cuisine beaucoup et où être un fanatique des bonnes choses est une norme. La qualité du produit prime avant toute chose et le manipuler avec art est un devoir. Bref, je suis née dans un milieu où ne pas savoir faire la cuisine est socialement handicapant.

J’ai des souvenirs hilarants de déjeuners chez des amis de mes parents, qui ne savaient ni cuisiner, ni acheter de bonnes matières premières. La façon que mes parents avaient de fixer le roulé jambon-macédoine-mayonnaise servi en entrée m’a beaucoup marquée. Et surtout leur tête quand ils réalisaient que le jambon était industriel et que la mayonnaise venait d’un tube.

Si vous voulez vous faire décapiter, chez moi, c’est très simple, il vous suffit de servir un plat avec un vin qui ne lui correspond pas, ou pire, un mauvais plat avec un mauvais vin. La première fois que j’ai invité mes parents à manger chez moi, j’ai raté l’entrée. Ce n’était même pas ma faute, la recette était catastrophique. Seulement voilà, j’avais 18 ans et c’était la première fois que je faisais un vrai repas haut de gamme, je n’avais pas encore assez d’expérience pour savoir si une recette sera bonne ou non, juste en lisant les ingrédients. Malgré les heures passées en cuisine, mes boulettes de Bar et leur sauce épicée étaient immangeables. Depuis, je me suis largement rattrappée, mais je sais que j’entendrai probablement parler de ce ratage jusqu’à ce que tous ceux qui y ont assisté soient morts.

Pour ma part, j’essaie d’être indulgente avec les autres. Ne pas savoir cuisiner, ça peut arriver. Ne pas aimer ça aussi. Cependant, la célèbre phrase de Brillat-Savarin est toujours dans un recoin de mon esprit quand je mange ailleurs que chez moi: « Dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es. » La psychologie des gens va généralement de pair avec ce qu’ils mettent dans leur assiette.

Ainsi, il y a « les pseudo-épicuriens », qui confondent être gourmet et gourmand; ils se servent du prétexte d’aimer les bonnes choses pour en abuser largement (et donner l’impression qu’ils n’ont pas mangé depuis 15 jours).

Les « coupables », qui ne mangent en public que la salade arrosée de citron, mais se vengent en cachette sur les paquets de gâteaux. Ceux là sont insupportables à inviter, on les voit en train de calculer combien de kilomètres de footing ils vont devoir faire pour éliminer ce qu’ils sont en train de mastiquer.

Les « intellos » de la bouffe, adeptes d’un régime alimentaire surréaliste qui leur ruine la santé, mais qui les rend intéressants (à leurs yeux). Ils détestent généralement manger et ne supportent la nourriture que s’ils l’ont faite souffrir un max avant. Le pire: aller manger chez eux et s’entendre dire que tout dessécher avant de le manger, c’est formidable.

Les « frimeurs », qui se vantent de tout en permanence: leur maison, leurs gamins, leur chien, leur jardin, leur voiture... généralement, quand ils vous invitent, vous réalisez que leur « grande cuisine », c’est ce que vous faites tous les jours sans vous fouler.

... et il y a ma catégorie: les gens pénibles qui veulent que tout soit toujours parfait. Ils sont généralement difficiles à vivre, mais curieusement, tout le monde veut manger chez eux!
|

Sauce aux légumes express

Les pâtes, il faut l’avouer, c’est quand même bien pratique. Quand on est un peu pris de court pour faire la cuisine ou que des amis débarquent et que le frigo n’est plus très garni, elles sont en général là pour vous sauver la mise.

Cependant, les pâtes nature, on s’en lasse très très vite. Il leur faut un minimum de sauce pour les rendre intéressantes, ou alors, on risque de les noyer sous le fromage râpé et là... grand drame diététique.

Hélàs, les sauces du commerce sont rarement excellentes. Elles sont chères, pleines de colorants et de sucre et vous promettent des légumes que vous n’avez pas vraiment conscience de manger. Alors certes, une certaine marque vient de sortir une sauce « cinq légumes ». Mais pour vraiment avoir un apport en légumes, c’est un pot par personne qu’il faut manger. A deux euros au bas mot, si vous êtes quatre, je vous laisse deviner le budget sauce et le convertir en quantité de légumes achetables avec cette somme.

Et donc là, bien évidemment, on en arrive à ma sauce. Rapide, bon marché et délicieuse.

Ingrédients pour deux personnes:

- 2 tomates
- un oignon
- une gousse d’ail
- un blanc de poireau
- un tier de gros poivron rouge
- sauce soja, persillade, herbes de Provence

Préparation:

Dans une petite cocotte, versez un peu d’huile d’olive, mettez l’oignon en rondelles et la tomates en cubes. Faites fondre un peu, pendant ce temps, découpez le poivron en demi lanières et le poireau en rondelles. Mettez dans la cocotte, ajoutez une càs de sauce soja, une càc de persillade et une d’herbes de Provence, mélangez bien, rajoutez un peu d’huile ainsi que la gousse d’ail écrasée, mélangez, couvrez. Laisser mijoter 4à5mn. C’est prêt!

Vous pouvez garder cette sauce deux jours au réfrigérateur, sans aucun problème.

DSCN4080

DSCN4081

Ca donne une très jolie petite tête à ces tortellini au boeuf, non?

|

Pour en finir une bonne fois pour toute avec les régimes

C’est l’été et l’hystérie annuelle du « comment perdre 20kg en 15 jours pour rentrer dans votre bikini taille 34 » recommence. Et autant vous dire que ça m’énerve.

Je hais les régimes. Je n’en ai jamais fait. Et j’espère n’avoir jamais à en faire.

Pour moi, le mot régime évoque inmanquablement cette idée que, eh bien, oui, on a fait un peu n’importe quoi toute l’année, alors maintenant il faut réparer les dégâts, juste le temps de la saison où on montre un peu ses fesses, après, on pourra reprendre les mauvaises habitudes.

Le seul régime miracle, c’est celui d’une alimentation équilibrée et mesurée toute l’année. Les autres consistent généralement à vous affamer pendant plusieurs semaines ou à vous faire manger des trucs que vous détestez le reste du temps. De plus, les personnes qui suivent un régime sont généralement d’une humeur épouvantable (quand mon père est au régime, il faut changer de pays) et vous regardent manger votre tranche de cake du goûter, en suçant leur quart de citron, le regard plein de haine.

J’entends souvent des gens (surtout des filles en fait ^^) me demander: « Mais enfin, tu aimes les bonnes choses, tu cuisines tout le temps et tu gardes la ligne, comment tu fais? »

Alors en grande exclusivité mondiale, voici le secret de mon IMC de 19 et de mes analyses de sang limpides (plus parfait, tu meurs):

- Je ne mange que le minimun de produits industriels. Plus le temps passe et plus je les bannis de mon alimentation. Ce qui signifie peu de gâteaux en boîte, pas de sauce en pot, pas de plats cuisinés, pas de plats surgelés, peu de gâteaux apéritifs, peu de chips ... alors oui, effectivement, je fais tout. Mais c’est bien meilleur, bien mois cher et en cuisinant, on dépense des calories. Seuls plats industriels autorisés: les pâtes farcies fraîches (ravioli, tortellini...) et les pizzas fraîches (pas américaines, jamais, jamais, jamais).

- J’évite l’excès de sucre. Je bois du coca zero ou blak, je mets des sucrettes dans mon café, rien dans mon thé, je fuis les produits tout prêts, toujours blindés de sucre. Cependant, je mets du vrai sucre dans mes gâteaux, bien que je diminue généralement les doses, et je privilégie le miel. Je n’aime pas l’idée de remplacer par des édulcorants systématiquement. Je cuisine vrai et naturel, donc je préfère manger moins, mais mieux.

- Je privilégie les graisses végétales. Je cuisine tout à l’huile d’olive et j’utilise de la margarine à la place du beurre quand cela ne gâche pas la recette (on ne fait certainement pas un crumble avec de la margarine, c’est un carnage). Sachez que dans beaucoup de gâteaux, on peut mettre de l’huile d’olive à la place du beurre, sans que cela ne se goûte. Je traque la mention « matière grasse hydrogénée » sur les étiquettes, à proscrire.

- J’évite le gras en général. Je cuisine le plus possible sans beurre et sans crème (je n’y tiens pas, ce n’est pas un goût dont je raffole). Comme je cuisine beaucoup exotique, j’utilise du lait de coco, c’est bien meilleur!

- Je ne cuisine que ce que je vais manger, jamais donc, de grandes quantités, qui incitent à se resservir. En plus, je n’aime pas les restes.

- De tout à chaque repas: viande/oeuf/poisson, fruits et légumes, féculents, yaourt/fromage.

- 1L de thé par jour, c’est le secret de la ligne. On évacue les toxines, on se protège des caries, des cancer... que du bon!

- On oublie la cuisine traditionnelle française. Mes inspirations sont essentiellement asiatiques (Chine, Japon, Thaïlande...), indiennes, italiennes. L’essentiel, c’est d’inventer.

- Enfin, je fais de l’exercice. Le ménage, c’est vraiment excellent (scientifiquement prouvé). Je marche et je fais 20mn de gym par jour.

Mais par dessus tout, ce qui permet d’être mince et heureux, c’est d’avoir un rapport harmonieux à la nourriture. Tant qu’on a l’impression de se priver, rien ne va. C’est donc aussi beaucoup dans la tête que ça se passe!
|

Petit déjeuner sympa II

Aujourd’hui, premier week-end tranquille en amoureux depuis un certain temps. Au programme: grasse matinée et donc, brunch!

DSCN4066

DSCN4067

DSCN4068

Au menu pour tout le monde: oeufs sur le plat, petites saucisses, baguette grillée et pancakes. Pour monsieur: fraises au sucre. Pour madame: tomates aux herbes à la poêle et pamplemousse.

Pour donner du goût aux oeufs, je les soupoudre de persillade.

Pour les pancakes...

Ingrédients pour une demi-douzaine de pancakes:

- 150g de farine
- 2 oeufs
- 1/2 sachet de levure
- 1 sachet de sucre vanillé
- lait
- 30g de beurre fondu

Préparation:

Dans un saladier, mélangez la farine, la levure et le sucre vanillé. Creusez un puit, cassez-y les oeufs, commencez à mélanger. Ajoutez un peu de lait, jusqu’à ce que la pâte soit souple, mais bien épaisse. Enfin, versez le beurre fondu. Mélangez bien. Faites chauffer une petite poêle. Pour chaque pancake, il vous faut une petite louche de pâte. Retournez le pancake quand de petits trous se forment à la surface. Faites attention à ne pas trop les cuire, sinon, ils seront desséchés.

|

Petit déjeuner sympa I

Cher et Tendre et moi-même aimons beaucoup les petits déjeuners à l’anglaise et les brunches.

Ses horaires de travail étant plutôt irréguliers, il lui arrive de prendre dans l’heure de midi. En général, nous en profitons donc pour faire une bonne grasse matinée et un copieux petit-déjeuner.

Aujourd’hui, je vous présente le « petit déjeuner sympa n°1 », réalisé grâce au très joli set que m’a offert une amie. Pratique, compact, il est facile à nettoyer; de plus, le mélange bambou/inox a vraiment beaucoup de classe: je l’adore!

DSCN4038

DSCN4037

Au menu: des oeufs à la coque, des toasts de pain et de brioche, du pamplemousse et une salade de pêches et de pommes au fromage blanc. Et puis bien sûr: du thé Earl Grey, indispensable pour bien commencer la journée!

|